EXPOSITIONS

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La Galerie des Augustins expose les peintures de l'artiste marocain

Azdine Bendra

Du 14  juin au 28 septembre

Galerie des Augustins

30 rue Carreterie

84000  Avignon

04 90 85 91 78 - 06 07 79 91 75

galeriedesaugustins@wanadoo.fr

de jeudi à samedi 15h - 18h30

dimanche 10h - 12h30


Azdine Bendra, l’artiste qui parle à ses pinceaux

«Moi, je parle au pinceau et le pinceau fait comme il veut. C'est le pinceau qui peint», dit-il.

Alain Galant, le patron de la Galerie des Augustins, à Avignon, est un découvreur de talents. Il accroche actuellement aux cimaises de sa galerie les œuvres du peintre marocain Azdine Bendra.

Né à Safi,ville portuaire sur l’Atlantique, c’est dans une activité de potier que le jeune homme et futur artiste entame son parcours créatif pour basculer vers la peinture et mener une vie de bohème en croquant des portraits sur les trottoirs des villes qu’il traverse. Mais à côté de cette activité alimentaire, il commence à peindre de grandes toiles à l’acrylique. Il y exprime une explosion de vie par un art puissant, immédiat, des coups de pinceaux intuitifs où le figuratif épuré se mêle étroitement à l’abstrait. Il commence à intéresser les galeristes de Safi et Marrakech.

Sans sacrifier sa liberté aux exigences d’une notoriété naissante, Azdine Bendra reprend ensuite son pinceau de pèlerin pour un voyage initiatique qui le conduit successivement à Agadir, Taroudant, Taznakht, Zagora avant d'atterrir à Ouarzazate.

C’est cette attirance pour les grands espaces de liberté qui font de lui "le peintre du désert".

A voir rue Carreterie à la Galerie des Augustins.A quelques mètres de la place des Carmes à Avignon, dans le quartier des théâtres, des facultés et des artisans, la galerie des Augustins est un espace dédié à l'art contemporain, la promotion d'artistes reconnus, la découverte de nouveaux talents ainsi qu'aux documents anciens.


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Maria aH!

expose à

à La tour de Guet

Place de l’Église

30330 TRESQUES

06 51 71 11 77

Née en 1981 à Avignon au sein d'une famille d’artistes et d’artisans, Maria aH s'éprend de l'art dès son plus jeune âge : une maman artiste métallo-rupestre qui transforme la pierre et le métal en rêve, un grand-père, Bruno, peintre et sculpteur contemporain et ami de Salvator Dali. Il y a là une ascendance intrinsèque de l’artiste pour la création sous toutes ses formes.

Dès âge de 10 ans, elle commence il travailler l'argile et le dessin dans l'atelier de son grand-père. Plus tard, à l'université, elle entamera des études d’Histoire de l'Art et d'Archéologie.

L’envie et le besoin de peindre s’imposent à elle en parallèle de son métier d'enseignante, une démarche autodidacte pour s’exprimer autrement que par les mots, dans une véritable « urgence artistique".

Maria aH présente dans cette exposition un travail abstrait à l’aquarelle et à l'acrylique dont le fil conducteur est le bleu de Prusse et des lignes sinueuses au service de formes, de courbes et d'espaces reliés.

Le thème de ses toiles concerne les liens : liens humains organiques, spirituels, liens de sang, liens du cœur et de l’âme ; ces liens qui s'inscrivent dans nos corps, dans nos cellules.

Au fil de ses œuvres, Maria aH interroge ces liens qui nous unissent. Leur complexité, leurs anfractuosités, leurs structures.

Il s'agit d’une interrogation. d'une quête intérieure, d’une traduction intime et personnelle de la profondeur de nos liens, de leur intensité.

« J’ai voulu donner forme à ces liens, représenter leur genèse et leur évolution, tel un réseau de connexions organiques mais aussi spirituelles : nos liens de l’âme avec leurs blessures, leurs fêlures, leurs fragilités aussi, nos liens originels, primaires".

"Que sont ces liens qui me tiraillent, dans les brouillards de mon âme. dans mes cellules et dans mes gènes. au plus profond de moi-même ?" Maria aH.

Ces peintures nous interrogent : "Qu'est-ce qui fait structure, histoire en nous ? Et entre nous ?"


"Nous avons l’art pour ne pas mourir de la vérité." - Frédéric Nietzsche



MariaaH est une créatrice

Artiste et… institutrice

Riche de par son ascendance

Innovante dans sa compétence

Abondante dans la création

Acquise toute à sa mission 

Habitée par sa passion

Mes peintures

Mes dessins à la plume

Anatomie

Coloraturo

Si mes œuvres vous intéressent, pour achat ou exposition,  contactez-moi:

parizatmaria@yahoo.fr

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MISS.TIC

Du 27 juin 2024 au 5 janvier 2025, Avignon et le Palais des Papes accueillent « A la vie, à l’amor » – Art dans la ville, poétique de la révolte (1985-2022)  - première monographie posthume de  Miss.Tic. Pionnière de l’art urbain français, elle est avant tout poétesse dans la cité. C’est un véritable projet littéraire, sociétal et philosophique qu’elle nous offre, inscrit à l’encre aérosol sur les murs, les toiles ou les tôles...

L’exposition, déployée selon trois mouvements sur l’ensemble du parcours de visite du Palais des Papes, présente plus de 300 œuvres (photographies, toiles, palissades, estampes).  

PLUS D'INFOS ICI

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Curiosité

Voyage dans nos réserves

 

Exposition

du 6 juin au 3 novembre 2024

 

 

La curiosité, un vilain défaut ? Une gourmandise, comme l’affirmait Victor Hugo, qui ajoutait : « voir, c’est dévorer » ? Ou plutôt « la condition essentielle du progrès » car à l’origine de toute connaissance, selon Alexandra David Néel. La curiosité, objet de doutes, d’interrogations, mais surtout formidable moteur de recherches, constitue le fil rouge de l’exposition de l’été 2024 au Musée Angladon - Collection Jacques Doucet d’Avignon.

 

Pour la directrice Lauren Laz, c’est une nécessité, intimement liée à la vocation d’un Musée : étendre sans cesse la connaissance de ce que l’on conserve. Cette nécessité a poussé l’équipe du Musée à revisiter la totalité des collections, interroger les réserves, rouvrir les armoires, les tiroirs de cette demeure qui conserve un patrimoine constitué par plusieurs générations de collectionneurs : Jacques Doucet (1853-1929), grand couturier-collectionneur de la Belle Époque, puis Léon Dubrujeaud (1845-1920), son beau-frère, enfin Jean Angladon (1906-1979), petit-neveu de Jacques Doucet, et son épouse Paulette Martin (1905-1988), tous deux artistes avignonnais. Le fonds qu’ils ont constitué compte plus d’un millier d’œuvres et d’objets. Des trésors qui disent les regards à l’œuvre et entraînent le public sur les traces d’une curiosité vagabonde.

 

Car ces collectionneurs n’ont pas mis de limites à leur soif de découverte. Épris de formes, ils ont enquêté sur toutes les époques, tous les styles, sous toutes les latitudes. Sans prétendre embrasser la totalité de ces visions foisonnantes, l’exposition en dévoile des facettes essentielles, œuvres sensibles, sculptures, dessins et estampes, céramiques d’ici et d’ailleurs, articulées autour d’une chronologie, de lignes de force et de types d’objets. À commencer par les dessins du XVIIIe siècle où le regard s’attache à la pureté de la ligne, à la simplicité d’un trait sur le papier. On découvre ainsi la délicatesse d’un Portrait de jeune femme, signé Jean-Michel Liotard, la sensualité d’une sanguine de Boucher, ou encore la beauté exquise d’une série de portraits au pastel.

 

Les figures féminines, draperies, visages, évoquent les raffinements d’un siècle où s’élargissent les horizons. Les porcelaines, objets du quotidien mis en lumière dans leur singularité, leur font écho, bien au-delà des frontières de l’Europe, comme cette céramique de bronze et porcelaine d’un intense bleu turquoise.. Les miniatures XVIIIe venues d’extrême orient se posent comme des énigmes. Que nous dit cet Enfant accroupi  en céramique bleue réalisé en Chine au XVIIIe siècle ? Quel est ce personnage alangui aux formes féminines ? Le vermillon d’un beau tapis chinois guide nos pas vers d’autres merveilles exotiques : l’étrange présence d’un masque en bois japonais, des kabuki dont la fragilité a traversé les siècles,  la grande vague d’Hokusaï…

Le passage d’un siècle à l’autre, du XVIIIe au XIXe, ouvre la question de la modernité. Placé au cœur des collections du Musée, ce moment charnière est celui des grandes transformations sociales, urbaines, artistiques. Cette partie de l’exposition s’ouvre sur un somptueux manteau de soirée signé Jacques Doucet. Le couturier-collectionneur habilla de dentelles les élégantes d’une époque où les figures féminines prenaient du relief et de la personnalité. Dans l’art, la beauté classique des drapés cède le pas aux audaces d’un Félicien Rops, puis aux sculptures méditatives de Charles Despiau, ouvrant sur les traces de Rodin les chemins du XXème siècle. Avec Jean et Paulette Angladon, grands amateurs de voyage, s’illustrent aussi les transformations du paysage urbain, le déploiement du loisir. Les deux artistes, curieux insatiables, ont tout collectionné, œuvres d’art, mobilier, photos, serviettes d’hôtel, cartes postales… C’est cette ardeur qui est transmise ici, comme une invitation à toujours poursuivre l’aventure du regard.

 

Musée Angladon- Collection Jacques Doucet.

 5, rue du Laboureur. 84 000 Avignon. 

T 04 90 82 29 03. www.angladon.com

PEPITA

Galerie Arteastic
15 rue de la Petite Fusterie
84000  Avignon

Femmes de caractère. En une phrase, le travail de l’artiste Pépita, artiste avignonnaise dans le corps, espagnole dans le sang.

Peindre la femme autrement, loin des carcans de notre société, loin des canons de beauté. Et alors ? L’œuvre de Pepita comme un coup de gueule aux idées reçues.
Peindre la femme comme il faudrait la voir et non comme il faudrait qu’elle soit.
Nonchalantes, assumées, ces bonnes dames aux bouches démesurées et aux postures désaxées relatent une autre idée de la muse. D’ailleurs, l’artiste s’accroche à cette idée que la femme a le droit d’être femme, avant d’en être sa représentation.
Ses toiles réalisées à l’acrylique sont simples, brutes. Hautes en couleurs et en aplats, marquées de contours accentués, elles laissent place à un travail singulier où le sujet prévaut sur la technique. Une manière d’aller à l’essentiel.
Après tout, essentielle, n’est-il pas le propre de la femme ?

Vernissage le jeudi 20 juin à partir de 18h30.

Entrée libre.

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Exposition sur les vues d'Avignon à travers des œuvres, pour certaines inédites du musée Calvet.
"A l'horizon. Quand Avignon inspire les artistes".
Musée Calvet

63 rue Joseph Vernet

84000  Avignon


L'exposition "A l'horizon. Quand Avignon inspire les artistes" que le musée Calvet propose, a pour objet la représentation de la ville d'Avignon, à travers les siècles et les techniques.

Le visiteur a l'occasion d'admirer un ensemble de peintures, dessins et photographies, datant du milieu du XVIIe siècle au début du XXe siècle. ces oeuvres, dont certaines sont inédites, reflètent les différentes visions portées par les artistes sur la cité avignonnaise et leurs manières personnelles de l'immortaliser.

L'exposition s'articule autour de quatre sections : de la vue générale et panoramique de la ville au portrait d'une architecture emblématique, en passant par l'interprétation romantique de ce paysage urbain dans lequel la présence de la cité n'est qu'évoquée voire suggérée.

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L'ART SACRE VISIONNAIRE D'AMAZONIE

Le Figuier pourpre - Maison de la poésie

4 rue Figuière

84000  Avignon

Regroupés au sein de l’association ONANYATI ("la sagesse des anciens" en shipibo), des artistes amazoniens indigènes réinvestissent leur culture ancestrale dans un travail de création en liaison avec les enseignements traditionnels.

Ils sculptent les légendes, peignent les visions et donnent à voir l’invisible au profane et un panthéon à l’Amazonie.
Ce projet artistique et culturel est dédié à la préservation de la forêt amazonienne et de la culture des peuples indiens, et ce, à travers l’art.
L’art visionnaire est une tendance récente de l’art où l’artiste transpose ses images intérieures sur son œuvre. Ces images sont directement obtenues par des techniques de stimulations, des rêves éveillés, des états de transes, des pratiques de méditations, des plantes traditionnelles ou tout simplement le songe.
A ce titre, l’art visionnaire se rapproche parfois des mythes ou de l’art sacré; les aires de projection du cerveau stimulées donnent la possibilité de faire naitre un invisible de type archétypal : mythologies, anges, démons, esprits de la nature et cosmos deviennent palpables et interactifs.
Pour certains, l’art visionnaire est une porte d’entrée vers un nouveau monde: celui de la conscience. Pour d’autres cela reste du domaine de l’imaginaire.

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Exposition

UN FORT UN FLEUVE LE RHÔNE

Fort Saint-André

Montée du Fort

30400  Villeneuve-lès-Avignon


Cette exposition présente la géographie du fleuve, les mythes et légendes qu’il a suscitées, les usages et notamment activités commerciales qui se sont développées autour, à Villeneuve et Avignon, et enfin les enjeux écologiques liés à sa préservation.

Découvrez les croyances et légendes liées au Rhône (ferveur des mariniers, légendes de la Tarasque et autres dragons) ; le Rhône comme source d’inspiration de Frédéric Mistral, source de vie avec sa faune, sa flore et ses enjeux écologiques présents.
Projetez-vous au temps où le Rhône baignait le pied du Mont Andaon avec l’approvisionnement des marchandises, les métiers liés au fleuve, les îles entre Avignon et Villeneuve, les inondations de l’époque…
Enfin découvrez le 7eme régiment des pontonniers à Villeneuve, la contrebande de sel entre Avignon et le royaume de France, la batellerie et les questions de territoires liés au fleuve.
Une maquette de moulin-bateau sera exposée avec démonstration de calfatage (art d’étanchéifier les lames de bois avec des fibres végétales) et autres ateliers.

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Exposition

TRAITS DE PLUME

Abbaye Saint-André, montée du Fort

30400  Villeneuve-lès-Avignon

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